Dans sa démarche de communication sur ses pratiques de « green coding », AXA aborde cette fois-ci le volet de la gestion des données. L’équipe tech de l’entreprise a publié un nouvel article mettant en lumière ses réflexions et bonnes pratiques dans ce domaine.
La gestion du stockage et de l’infrastructure
La gestion du stockage et de l’infrastructure est le premier aspect abordé. Cela implique le choix de l’emplacement et du type d’hébergement des données, ainsi que la définition des besoins, la sauvegarde, l’archivage, l’indexation et la mise à l’échelle. AXA souligne notamment l’importance de configurer le bon niveau de journalisation et de supprimer les anciennes sauvegardes pour limiter l’empreinte environnementale.
Le traitement des données
En ce qui concerne le traitement des données, AXA présente ses bonnes pratiques avec des illustrations en Java. Par exemple, l’utilisation de la déduplication de données permet d’améliorer l’efficacité du code. L’équipe mentionne également l’existence de la méthode distinct() sur l’API Stream et des bibliothèques tierces comme Apache Commons Collections ou Google Guava pour des besoins plus complexes.
AXA fait également référence à l’utilisation de la mise en cache avec l’exemple de la bibliothèque Caffeine. Pour les traitements massifs, l’API Stream est soulignée comme étant plus efficace qu’une boucle classique grâce à ses opérations optimisées (filter, map, reduce, sum…).
En communiquant sur ses pratiques de « green coding » et en mettant en avant ces exemples concrets, AXA montre son engagement dans la réduction de son empreinte environnementale liée à la gestion des données. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de limiter l’impact écologique du code et d’aller vers des pratiques plus durables.